On a démonté les tuiles. On a démonté la charpente. On a démonté la cheminée. On a démonté les fenêtres. On a démonté le pignon. Et bien maintenant on démonte le plafond!
Toutes les poutres sont enlevées ainsi que le torchis qui les lie. De cette façon on accède aux murs sur lesquels on va pouvoir couler une ceinture en béton armé. Ce sera notre base pour rehausser les murs. On a donc atteint le point de démolition le plus avancé du projet (enfin j'espère!)
À partir de maintenant, on de détruit plus, on construit!
mardi 13 décembre 2011
lundi 31 octobre 2011
Fin de charpente
Il restait quelques poutres de faîtage et fermes à abattre, c'est maintenant chose faite! L'étage est à nu. Nous avons bâché en attendant.
Petite surprise: le mur mitoyen n'en est pas un. Impossible de construire par dessus ça, il va donc falloir monter un deuxième mur juste à coté pour pouvoir permettre la rehausse.
Le haut des murs est mis à nu également, et ce n'est pas vraiment le bon support que nous attendions pour construire nos murs.
Un peu de réflexion va être nécessaire, pas précipitation, même s'il ne faut pas trainer; l'hiver approche, le gel avec lui, et qui dit gel dit pas de béton!
En attendant on fait place nette dans le jardin (l'équivalent d'une charpente qui traîne quand même...) pour accueillir matériaux qui devraient arriver aujourd'hui.
Ha oui, j'ai presque oublié mais on a démonté toutes les fenêtres pour que le métreur passe prendre les cotes.
Petite surprise: le mur mitoyen n'en est pas un. Impossible de construire par dessus ça, il va donc falloir monter un deuxième mur juste à coté pour pouvoir permettre la rehausse.
Le haut des murs est mis à nu également, et ce n'est pas vraiment le bon support que nous attendions pour construire nos murs.
Un peu de réflexion va être nécessaire, pas précipitation, même s'il ne faut pas trainer; l'hiver approche, le gel avec lui, et qui dit gel dit pas de béton!
En attendant on fait place nette dans le jardin (l'équivalent d'une charpente qui traîne quand même...) pour accueillir matériaux qui devraient arriver aujourd'hui.
Ha oui, j'ai presque oublié mais on a démonté toutes les fenêtres pour que le métreur passe prendre les cotes.
dimanche 16 octobre 2011
Toit toit mon toit...
L'automne est arrivé, l'hiver approche. Il est temps de passer chez le chapelier changer de couvre chef. Mais d'abord, il faut faire place nette!
Travail de longue haleine, poussière au kilo dans les narines, pieds de biche et tronçonneuse nous aurons amenés à ce résultat. Merci à tous ceux qui sont venus nous donner un coup de main!
Travail de longue haleine, poussière au kilo dans les narines, pieds de biche et tronçonneuse nous aurons amenés à ce résultat. Merci à tous ceux qui sont venus nous donner un coup de main!
dimanche 28 août 2011
La dalle en béton
Il aura fallu réunir une équipe d'experts ce samedi pour la réalisation finale de notre dalle béton, accomplissement des semaines de travail acharné de préparation.
Un grand merci à tous les participants de cette journée dont on préservera l'anonymat en ces temps d'insécurité numérique.
Je vous laisse découvrir l'oeuvre en images...
lundi 15 août 2011
Livraison des matériaux
Pour faire cette dalle, il nous faut des matériaux... Beaucoup de matériaux! 11 tonnes en fait.
Et comme notre terrain ne nous permet pas d'accès de la toupie pour commander le béton tout fait, ni d'accès d'un quelconque camion pour décharger au bon endroit, il nous faut tout déplacer à la main. Ce fut l'objet d'une journée entière, à deux. On a pas eu trop de mal à s'endormir le soir.
Avant...
Après...
C'est beaucoup plus impressionnant en vrai qu'en photo.
Il faut ensuite ramener tout ça à la brouette pour faire le niveau.
Une fois le niveau fait, poser un film plastique (polyane) pour empecher les remontées d'humidités dans la future dalle béton. Admirez le dévidoir géant improvisé avec 2 pelles et un escabeau.
Après on prépare le coffrage pour couler le béton sur le pourtour de la pièce, le centre étant isolé par des plaques de polystyrène.
Et comme notre terrain ne nous permet pas d'accès de la toupie pour commander le béton tout fait, ni d'accès d'un quelconque camion pour décharger au bon endroit, il nous faut tout déplacer à la main. Ce fut l'objet d'une journée entière, à deux. On a pas eu trop de mal à s'endormir le soir.
Avant...
Après...
C'est beaucoup plus impressionnant en vrai qu'en photo.
Il faut ensuite ramener tout ça à la brouette pour faire le niveau.
Une fois le niveau fait, poser un film plastique (polyane) pour empecher les remontées d'humidités dans la future dalle béton. Admirez le dévidoir géant improvisé avec 2 pelles et un escabeau.
Après on prépare le coffrage pour couler le béton sur le pourtour de la pièce, le centre étant isolé par des plaques de polystyrène.
Laisser respirer les murs
On ne s'arrête pas en si bon chemin, il faut retirer les plaques d'amiante ( ! ) qui recouvrent presque tous les murs, et décaisser la deuxième pièce pour être au même niveau que celle du fond et permettre d'y couler une dalle béton.
On trouve derrière l'amiante différentes choses plus ou moins jolies : des briques (pas mal, on garde), de la pierre de taille (miam), du ciment, du parpaing, du bois pourri, du torchi, des colombages... C'est très éclectique!
Et pendant ce temps là, les tomates poussent, alors on les mange. Un régal.
On trouve derrière l'amiante différentes choses plus ou moins jolies : des briques (pas mal, on garde), de la pierre de taille (miam), du ciment, du parpaing, du bois pourri, du torchi, des colombages... C'est très éclectique!
Et pendant ce temps là, les tomates poussent, alors on les mange. Un régal.
Remise des clefs, à l'attaque!
Et bien ça y est, on pensait qu'il allait y avoir plusieurs embuches supplémentaires, mais c'est sans encombres que la signature de l'acte de vente s'est déroulé. Nous sommes donc officiellement propriétaires, et bien motivés!
Comme nous n'avons pas encore reçu l'accord de la mairie pour les travaux extérieurs, nous allons commencer par l'intérieur. Et c'est le premier weekend que nous avons arraché le plancher de la pièce du fond. Puis dans la foulée, le lino et les tomettes qu'il cachait dans la deuxième pièce.
vendredi 15 juillet 2011
La déclaration de travaux
On ne démotive pas, toutes ces embuches ne sont que broutilles face à la satisfaction d'être chez soi. En tous cas, y parait.
Il faut maintenant constituer un dossier de déclaration préalable de travaux en mairie. C'est comme un permis de construire, mais moins long. Il faut bien entendu répondre à un certain nombre de critères, mais (coup de bol?) c'est notre cas, et nous n'essuyons que 2 mois d'attente au lieu de 6!
Oui les délais sont longs, et d'autant plus que nous sommes dans une zone historique protégée car à proximité d'un chef d'oeuvre d'architecture régionale (ou pas, on ne l'a jamais vu). Alors à priximité ça veut dire à 500m tout de même, sans ligne de vue et en centre ville. Il faudra également m'expliquer en quoi les barres HLM du bout de la rue répondent aux critères du plan d'urbanisme de cette zone protégée.
Bref, nous voila en possession d'un formulaire qui décrit toutes les pièces à fournir pour constituer ce dossier. Ca a l'air long et fastidieux. Ca l'est.
Le personnel de la mairie est fort sympathique et nous donnerait presque l'envie de croire que tout le monde est là pour nous aider. Après plusieurs semaines de travail acharné (il faut un paquet de plans pour ce p****n de dossier!) j'ai dans les mains un dossier exemplaire, normalisé, propre, explicite et clair. Une étincelle de fierté et d'accomplissement personnel brille dans mes yeux. Je consulte à tout hasard le CAUE de Tours, organisme qui a pour vocation d'aider les gens comme nous (les n00bs) à réaliser leurs projets dans la jungle administrative. Encore des gens très accueillants qui vous donnent beaucoup de conseils avisés. Ce déplacement aura été instructif. Je révise donc ma copie et peaufine mes plans pour avoir toutes les chances de notre côté de passer l'épreuve du feu.
C'est ce matin que j'ai décidé d'aller déposer le dossier final en mairie. A l'ouverture, pour avoir le temps de revenir s'il manque quelque chose. J'ai d'ailleurs pu remarquer que ceux qui disent que les fonctionnaires ne font pas grand chose ont tord. A 9h pétante, le personnel était déjà en train de s'affairer et c'est une charmante demoiselle qui m'a reçu dans son bureau pour déposer le dossier. Tout est parfait, le dossier est complet, j'ai mon tampon, je rentre à la maison.
10h : appel de la mairie. Surprise, le dossier est irrecevable car le projet ne respecte pas le code de l'urbanisme. QUEEEEEEEEEEEEEAAAAAAAAAAA? Et oui mon bon monsieur, avant même de faire les travaux, votre habitation n'est déjà pas en règle. Elle se trouve à 1m de celle du voisin alors que la hauteur du bâtiment est de 6m (pour info, c'est minimum la moitié de la hauteur, soit ici 3m). Sur la photo, à gauche notre maison, à droite le voisin. Comme notre projet est de rehausser la maison, vous imaginez bien que ce n'est pas possible. Seule solution si l'on veut rehausser : combler l'espace entre notre maison et celle du voisin. Donc si je comprends bien, il faut minimum 3m mais si je viens me coller c'est bon? Note pour moi même : la logique cartésienne ne s'applique pas au code de l'urbanisme. Après une heure au téléphone pour essayer de trouver une solution "acceptable" avec cette dame, il en résulte que nous avons le droit de venir contre la maison du voisin uniquement avec la toiture, sans créer de murs en dessous. Donc créer un préau. Le doute m'habite. Comment le voisin a eu l'autorisation de construire sa maison de 8m de haut à 1m de la notre?
J'accuse le coup, et fait une revue de tous les documents que j'ai à reprendre. Je ne parle pas que du dossier pour les travaux, non bien sur. Il faut aussi recontacter le charpentier couvreur pour renégocier le devis. Il faut reprendre le calcul du budget, il faut revoir le planning, changer de stratégie, expliquer avec un air convaincu au voisin qu'on va venir se greffer sur son pignon.
J'ai presque failli oublier un détail amusant. Pour notre projet, nous avions le droit à une déclaration de travaux au lieu d'un permis de construire (2 mois au lieu de 6 mois). Sauf qu'entre temps nous voulions changer la vieille porte de grange branlante par une porte fenêtre à l'étage. Et bien non, il faut un permis de construire si l'on souhaite faire les deux en même temps (réhausse + changer ouverture). Pour rester en déclaration de travaux, il faut donc déposer deux dossiers consécutifs... Allez courage, on a déjà (presque) fait la moitié du boulot! Et tout ça sans avoir encore touché un seul outil.
Il faut maintenant constituer un dossier de déclaration préalable de travaux en mairie. C'est comme un permis de construire, mais moins long. Il faut bien entendu répondre à un certain nombre de critères, mais (coup de bol?) c'est notre cas, et nous n'essuyons que 2 mois d'attente au lieu de 6!
Oui les délais sont longs, et d'autant plus que nous sommes dans une zone historique protégée car à proximité d'un chef d'oeuvre d'architecture régionale (ou pas, on ne l'a jamais vu). Alors à priximité ça veut dire à 500m tout de même, sans ligne de vue et en centre ville. Il faudra également m'expliquer en quoi les barres HLM du bout de la rue répondent aux critères du plan d'urbanisme de cette zone protégée.
Bref, nous voila en possession d'un formulaire qui décrit toutes les pièces à fournir pour constituer ce dossier. Ca a l'air long et fastidieux. Ca l'est.
Le personnel de la mairie est fort sympathique et nous donnerait presque l'envie de croire que tout le monde est là pour nous aider. Après plusieurs semaines de travail acharné (il faut un paquet de plans pour ce p****n de dossier!) j'ai dans les mains un dossier exemplaire, normalisé, propre, explicite et clair. Une étincelle de fierté et d'accomplissement personnel brille dans mes yeux. Je consulte à tout hasard le CAUE de Tours, organisme qui a pour vocation d'aider les gens comme nous (les n00bs) à réaliser leurs projets dans la jungle administrative. Encore des gens très accueillants qui vous donnent beaucoup de conseils avisés. Ce déplacement aura été instructif. Je révise donc ma copie et peaufine mes plans pour avoir toutes les chances de notre côté de passer l'épreuve du feu.
C'est ce matin que j'ai décidé d'aller déposer le dossier final en mairie. A l'ouverture, pour avoir le temps de revenir s'il manque quelque chose. J'ai d'ailleurs pu remarquer que ceux qui disent que les fonctionnaires ne font pas grand chose ont tord. A 9h pétante, le personnel était déjà en train de s'affairer et c'est une charmante demoiselle qui m'a reçu dans son bureau pour déposer le dossier. Tout est parfait, le dossier est complet, j'ai mon tampon, je rentre à la maison.
10h : appel de la mairie. Surprise, le dossier est irrecevable car le projet ne respecte pas le code de l'urbanisme. QUEEEEEEEEEEEEEAAAAAAAAAAA? Et oui mon bon monsieur, avant même de faire les travaux, votre habitation n'est déjà pas en règle. Elle se trouve à 1m de celle du voisin alors que la hauteur du bâtiment est de 6m (pour info, c'est minimum la moitié de la hauteur, soit ici 3m). Sur la photo, à gauche notre maison, à droite le voisin. Comme notre projet est de rehausser la maison, vous imaginez bien que ce n'est pas possible. Seule solution si l'on veut rehausser : combler l'espace entre notre maison et celle du voisin. Donc si je comprends bien, il faut minimum 3m mais si je viens me coller c'est bon? Note pour moi même : la logique cartésienne ne s'applique pas au code de l'urbanisme. Après une heure au téléphone pour essayer de trouver une solution "acceptable" avec cette dame, il en résulte que nous avons le droit de venir contre la maison du voisin uniquement avec la toiture, sans créer de murs en dessous. Donc créer un préau. Le doute m'habite. Comment le voisin a eu l'autorisation de construire sa maison de 8m de haut à 1m de la notre?
J'accuse le coup, et fait une revue de tous les documents que j'ai à reprendre. Je ne parle pas que du dossier pour les travaux, non bien sur. Il faut aussi recontacter le charpentier couvreur pour renégocier le devis. Il faut reprendre le calcul du budget, il faut revoir le planning, changer de stratégie, expliquer avec un air convaincu au voisin qu'on va venir se greffer sur son pignon.
J'ai presque failli oublier un détail amusant. Pour notre projet, nous avions le droit à une déclaration de travaux au lieu d'un permis de construire (2 mois au lieu de 6 mois). Sauf qu'entre temps nous voulions changer la vieille porte de grange branlante par une porte fenêtre à l'étage. Et bien non, il faut un permis de construire si l'on souhaite faire les deux en même temps (réhausse + changer ouverture). Pour rester en déclaration de travaux, il faut donc déposer deux dossiers consécutifs... Allez courage, on a déjà (presque) fait la moitié du boulot! Et tout ça sans avoir encore touché un seul outil.
Ha.... Les banques !!!
Nous vivons dans une société capitaliste, sachez le. Et donc, vous l'aurez compris, c'est le capital qui régit tout ici bas. Bien sur, qui dit capital dit banque, et ce sont eux qui vont nous donner -enfin prêter- (comment ça c'est presque du vol?) les deniers nécessaires à notre achat.
Il faut donc les rassurer. Entendez par là leur livrer les moindres secrets de votre vie privée, leur donner votre temps, des litres d'encre et d'huile de phalange (équivalent de l'huile de coude lorsque l'on écrit) et votre plus grande sérénité.
Après de grands sourire et de vigoureuses poignées de mains, il vous faut choisir l'un d'entre eux en fonction des diverses propositions alléchantes qu'ils auront daigné vous concéder à la sueur de leur front. Bref c'est vous qui faites le boulot, mais le mérite leur revient, incroyable non? Attention a votre choix néanmoins, le taux le plus bas n'est pas forcément le meilleur. En tous cas, c'est ce que nous avons cru. C'est donc le plus "réactif" qui l'a emporté dans notre cas, bien que légèrement moins concurrentiel que son voisin.
A ce moment là, nous sommes fiers, nous tenons le banquier et l'avons fait plier par notre seul force de conviction. Nous avons même déniché le banquier le plus compétent et impliqué de la région.
La paperasse est signée, et nous attendons bien sagement une bonne semaine que les offres soient éditées. A la fin du délais, n'ayant aucune nouvelle du sésame, nous contactons le banquier ultra réactif. Mais oh quelle surprise; les offres n'ont pu être éditées car il manque une signature au dossier! Je me déplace donc pour signer la pièce manquante en lui faisant un petit laïus sur l'engagement personnel dans une société capitaliste. Il se confond en excuses et a bien compris qui était le patron.
Re-attente d'une semaine...Re-coup de téléphone...Re-manque une signature... A ce moment très précis, un phénomène très intéressant se produit au sein de mon cortex. Quelque chose du type "annihilateur". Le fameux banquier est parti pour un mois en vacances, et c'est son collègue qui essuie mon courroux. C'est assez marrant, mais le collègue m'a l'air bien plus sérieux que le précédent. Moi qui pensais avoir le meilleur...
Une semaine (non en fait 4 jours, avec la pression qu'on leur à mis!) plus tard, nous recevons les fameuses offres. Allelujah! il ne reste plus qu'à attendre 11 jours pour les renvoyer. Oui, encore un délais de réflexion. Avec tout ça, celui qui achète une maison à l'insu de son plein gré...
Il faut donc les rassurer. Entendez par là leur livrer les moindres secrets de votre vie privée, leur donner votre temps, des litres d'encre et d'huile de phalange (équivalent de l'huile de coude lorsque l'on écrit) et votre plus grande sérénité.
Après de grands sourire et de vigoureuses poignées de mains, il vous faut choisir l'un d'entre eux en fonction des diverses propositions alléchantes qu'ils auront daigné vous concéder à la sueur de leur front. Bref c'est vous qui faites le boulot, mais le mérite leur revient, incroyable non? Attention a votre choix néanmoins, le taux le plus bas n'est pas forcément le meilleur. En tous cas, c'est ce que nous avons cru. C'est donc le plus "réactif" qui l'a emporté dans notre cas, bien que légèrement moins concurrentiel que son voisin.
A ce moment là, nous sommes fiers, nous tenons le banquier et l'avons fait plier par notre seul force de conviction. Nous avons même déniché le banquier le plus compétent et impliqué de la région.
La paperasse est signée, et nous attendons bien sagement une bonne semaine que les offres soient éditées. A la fin du délais, n'ayant aucune nouvelle du sésame, nous contactons le banquier ultra réactif. Mais oh quelle surprise; les offres n'ont pu être éditées car il manque une signature au dossier! Je me déplace donc pour signer la pièce manquante en lui faisant un petit laïus sur l'engagement personnel dans une société capitaliste. Il se confond en excuses et a bien compris qui était le patron.
Re-attente d'une semaine...Re-coup de téléphone...Re-manque une signature... A ce moment très précis, un phénomène très intéressant se produit au sein de mon cortex. Quelque chose du type "annihilateur". Le fameux banquier est parti pour un mois en vacances, et c'est son collègue qui essuie mon courroux. C'est assez marrant, mais le collègue m'a l'air bien plus sérieux que le précédent. Moi qui pensais avoir le meilleur...
Une semaine (non en fait 4 jours, avec la pression qu'on leur à mis!) plus tard, nous recevons les fameuses offres. Allelujah! il ne reste plus qu'à attendre 11 jours pour les renvoyer. Oui, encore un délais de réflexion. Avec tout ça, celui qui achète une maison à l'insu de son plein gré...
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